Le groupe rock canadien, Nickelback – popularisé en France avec son single How you remind me – a eu beau vendre plus de 30 millions d’albums dans le monde au cours de sa carrière – soit depuis 1996 – il n’en est pas moins la victime d’un bashing intense.

nickelback-2016-tour-600x310En effet, les Nickelback sont régulièrement l’objet d’actualité concernant cette impopularité. Le “groupe le plus détesté du net” a eu le droit à des groupes Facebook essayant de rassembler plus de fans pour un cornichon que pour Nickelback ou  à une pétition pour empêcher sa participation à un spectacle de mi-temps.

cornichon nickelback page facebook foodzik

 

Une application (“Nickelblock”) a également été inventée pour oublier son ex en associant le profil Facebook de celui-ci à une chose négative – qui n’est rien d’autre qu’une chanson du groupe.

Mais le groupe canadien sait également partager sa “lose”. La preuve est faite avec l’opprobre qui a touché Trump et avant lui Ted Cruz après que des internautes ont diffusé la rumeur que ces deux personnalités politiques qui ont marqué le début de l’année 2016 – et peut-être plus pour Trump … – aimaient Nickelback.

trump nickelback foodzik meetingAvant eux, c’est le maire de Chicago, Rahm Emanuel, qui en 2012 avait dû faire un communiqué officiel pour se défendre des mêmes accusations, ce qui montre à quel point la chose est prise au sérieux !

nickelback foodzikCette rencontre entre la popularité symbolisée par les ventes de disques du groupe canadien et la haine déversée sur le web sur lui et ses “fans présumés” montre encore que le web sait prendre des cibles au hasard pour en faire les victimes de la moquerie collective.

nickelback chicago foodzikIl n’y a donc pas réellement de “pourquoi Nickelback”, juste pour eux la mal chance d’avoir été choisi comme punching ball officiel du tout puissant internet et sa communauté de trolls !